Épreuve mythique de VTT, le Roc d’Azur, sort une nouvelle fois des sentiers battus pour sa 39e édition du 4 au 8 octobre prochain. Si l’histoire de cette épreuve varoise s’est avant tout construite sur le VTT, elle s’entretient au fil des années, par sa volonté d’en faire un rendez-vous pour les professionnels et surtout d’y ajouter de nouveaux terrains de jeu : « Désormais, l’événement se compose en cinq catégories : le VTT, le VTT électrique, le gravel, les épreuves d’outdoor (trail, randonnée et triathlon) enfin celles pour les familles », assure Thomas Delpeuch, directeur des épreuves grand public chez ASO. Si la grande course, la plus médiatisées - le Roc d’Azur - se disputera le dernier jour, pendant quatre jours c’est un ballet incessant et frénétiques de courses, entre celles qui sont chronométrées et celles qui font la part belle à la mobilité : « On souhaite surtout s’adresser au grand public, notamment sur l’électrique, même si à l’heure actuelle il n’y a pas de format de compétition sur cette mobilité », poursuit-il.
Après les 17 000 participants de l’année dernière, l’organisation devrait revenir à une fréquentation d’avant Covid, à savoir au-delà de la barre des 20 000 inscriptions : « Même si on a multiplié les courses, on fait bien en sorte qu’il n’y ait pas d’embouteillages sur les sentiers. On veut surtout que le confort demeure », avance Thomas Delpeuch. Cinq jours de compétition sur le massif des Maures et de l’Esterel rythmeront cet événement qui s’adresse aux amoureux du VTT et de sports outdoor. // TL
Comments