Marque d’équipements cyclistes la plus présente sur le dernier Tour de France, Ekoï joue la carte du sponsoring pour cultiver sa renommée internationale.
Pour gagner en visibilité et en attractivité, l’entreprise, basée à Fréjus, fait valoir cette activation à des multiples reprises, en étant notamment partenaire des équipes d’Israël Premier Tech, Cofidis, Arkea Samsic et de la Lotto Dstny lors de la dernière Grande Boucle : « Le sponsoring est très important pour la visibilité en France comme à l'international. Il nous permet également de pouvoir échanger et collaborer avec les sportifs pour concevoir les produits de demain. Être partenaire de courses, comme l’Ekoï Stone Circle est pour nous un enjeu également prioritaire », éclaire Pietro Cicoria, directeur des opérations d’Ekoï. Son expansion à l’international avec des récentes présences en Amérique du Nord, au Japon ou encore en Australie, matérialise que 55% de son chiffre d’affaires – de 45 millions d’euros en 2022 – soit réalisé à l’export. Équipant les cyclistes pro et amateurs de la tête aux pieds (casques, lunettes, textile, chaussure et accessoires), Ekoï se revendique être un acteur tout terrain : « Notre valeur ajoutée, c’est que nos produits ont été approuvés par des professionnels avant qu’ils ne soient proposés aux amateurs, c’est un gage de confiance important », remarque Pietro Cicoria. Les premiers pas dans le gravel illustrent ce désir de capter toutes les demandes : « Nous avons la volonté d’être présent sur tous les segments du vélo. Il était capital de prendre le wagon du gravel, un phénomène où la demande est très importante », conclut-il. // TL
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